January 11
Selon la Constitution indienne, pratiquer une religion est un droit fondamental. Mais en Inde, il n'y a pas bien codifié le droit des successions ou de tout code uniforme énoncée en matière d'héritage. En dehors de cela, les lois de succession sont assez compliquées, les questions de succession afin indiennes sont assez problématique en général.
Les Hindous ont un droit codifié de succession descendre depuis les temps anciens connus comme la Loi hindoue sur la succession. Sikhs, bouddhistes, jaïns et d'autres Indiens qui ne sont pas Farsis, les musulmans et les chrétiens suivent cette loi.
Conformément à la loi hindoue sur les successions, la propriété d'un homme hindou est distribué comme un action chacun à la mère, la veuve et les enfants vivant. Les descendants d'un fils prédécédé, qui incluent sa veuve et ses enfants, auront une part de la propriété.
Les lois de l'hérédité en Inde comprennent également les lois de succession islamiques et, pour les chrétiens, la loi sur l'héritage constitutionnel indien.
Promulguée en 1865, cette loi stipule que toute personne mourir sans testament est considéré comme "mort intestat." Dans de tels cas, sa veuve et ses enfants légitimes vont être les héritiers de sa propriété. Un tiers de ses biens iront à sa veuve, tandis que les deux tiers restants iront à ses enfants légitimes et leurs descendants légitimes.
Si un citoyen étranger hérite d'une propriété d'un citoyen indien défunt, la loi de succession respective de sa religion particulière va à appliquer dans ce cas.